Vous êtes-vous déjà perdu dans vos pensées ? Eu des idées fixes ? Jusqu’à en faire des insomnies ?
Le Dr Serge Marquis oui ! Et pour lui, pas de doute : Le coupable, c’est « Pensouillard », ce hamster maître de nos pensées qui tourne en boucle dans notre cerveau…
Voici mes notes glanées pendant sa conférence « On est foutu, on pense trop ». Je vous les partage sous un nouveau format, plus court : les Sketchnotes de Bloculus !
Le dessin ci-dessus est une Sketchnote (prise de notes sous forme de dessin). Pour vous aider à décoder ces notes brutes prises durant la conférence, voici les idées clés de chacune des parties :
1)
Vivre sereinement, c’est « facile » : il suffit de placer son attention sur un seul sujet de son choix. Un sujet à la fois quoi !
2)
Le problème c’est que nos pensées, elles n’en ont que faire ! Et telles Pensouillard le hamster, elles s’affairent à 1000 choses en parallèle déclenchant stress, migraines et autres manifestations physiques
3)
D’où nous vient ce stress ? D’un bout de notre cerveau dit « reptilien ». En stressant l’homme, il lui a permis de survivre à travers les âges. Mais à l’heure où notre survie n’est plus en jeu, il continue à nous bouleverser ! Et ce, sans faire de distinction entre ce que nous vivons… et ce que nous pensons !
4)
Une solution : limiter ces pensées et apprivoiser notre hamster !
Comment ? En s’entraînant à détecter leur emballement et notre faculté à « placer notre attention » ! La respiration consciente et la méditation sont parfaits pour cela !
Comment ? En s’entraînant à détecter leur emballement et notre faculté à « placer notre attention » ! La respiration consciente et la méditation sont parfaits pour cela !
5)
Ensuite, découverte du siècle : ce ne sont pas des circonstances extérieures, mais notre égo qui nous fait souffrir ! En effet, tout ce qui impacte notre soi-disante identité (physique, vêtements, idées, capacité…) devient une source immédiate de tension qui réveille notre cerveau reptilien.
6)
Pour vivre heureux, tâchons donc de ne pas nous emballer sur ces constituants qui ne sont pas vraiment nous. Concentrons-nous plutôt sur ce qui ne cessera jamais de nous caractériser : notre capacité d’aimer, d’apprendre, de créer, de rire, découvrir…
Bizarrement, elles ne nous stressent pas celles-là…
Bizarrement, elles ne nous stressent pas celles-là…
Si ce nouveau format d’article vous plait, n’hésitez pas à me le dire en commentaire !